Mais...

Il y a des jours comme ça. Des jours où on se pose trop de questions. D'autres où l'on ne réfléchis pas assé. Il y a certains jours où l'on est totalement sincère, et d'autres où l'on se tait pour en pas blaisser ou parce qu'on a trop peur de se tromper. Pas facile de gérer ça. Pas facile de s'avouer qu'on ne resent plus rien. Pas facile de ne pas garder le souvenir de ceux qu'on aimé. On aurait juste besoin que l'autre nous rassure, juste ça. Pas plus, on n'a pas envi de plus. Juste savoir que l'autre pense à la même chose. Mais surtout, ne surtout pas dire que c'est finit. Se laisser croire que c'est éternel, même si on n'y pense plus depuis longtemps. Continuer de se voir et de se serrer, comme si l'on revivait l'intégralité de nos souvenirs, jusqu'à les user complètement. Je déteste ça. Cette langueur. Je prèférerais quelques chose de net et de définitif, pour une fois. J'ai pas la force de faire ça. Je me réfugie derrière ma patience qui me bassine avec ses "attends encore un peu, qui sait ? un contact peut ralumer la flamme, un mot peut tout faire chavirer". J'y crois plus. C'est même pas que je n'y crois plus, c'est que je n'en ai plus envi. J'ai plus besoin de Nous. Mais j'ai toujours besoin de Toi. Et c'est plus de l'amour, c'est de l'affection. Mais putain ce que ça peut faire mal de se l'entendre dire. Et ce que ça peut faire mal cette déception. Tu m'as tellement déçue...