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In the desperate Kingdom of Love...
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In the desperate Kingdom of Love...
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30 septembre 2006

Il était une fois...

Je me dois d'un mot. Elle est si belle notre jeunesse. Elle est si fraiche. Elle semble si invaincible. Tellement improvisée. Tellement pleine de surprises. Et moi quand je parles de tout et de rien, autour d'un café (etc...humhum...) avec Manon, Toy et Fanny... moi je dis que la vie est belle. Moi je dis qu'on finira ensemble. Je pense à Samantha, Carrie, Miranda et Charlotte, je rie et me dis que nous avons des aires de Sex and the city. Alors je rie plus encore. Je rie de moi, de nous. C'est tellement doux.
Déluge cet aprem'. Je remontes jusqu'à la place Darcy tant bien que mal. J'arrives trempée. Trempée = moins de 5 cm2 de sec. De loin je vois arriver un pull rayé bleu. Je cours. Bouscule un type avec une barrière. Je suis derrière Lui. Ah! ces petites mains sont celles d'Elise! (merde encore captée, mais comment font-ils?) Facile, tes mains sont douces et je ne connais que toi pour risquer ta vie en traversant la place Darcy sous cette pluie! Je suis heureux de et voir! Il me soulève, je tourne dans ses bras. Je me sens si légère.... J'ai renversé du café sur ton écharpe... C'est pas grave, ça partira avec la pluie...
Après midi cliché version ciné ou feuilleton du vendredi après midi sur m6. Au choix. Pourtant c'est si bon. Dijonnais, voyez la scène : Au milieux de la place Darcy sous une pluie torentielle, autour de nous les exposants s'agitant, défaisant leur stand, Lui avec son petit pull, les cheveux trempés,moi son écharpe jaune autour du cou, glacée dans ma petite veste marron.
pfff... c'est ridicule...
Pas envi de sortir ce soir. Il est au Sé bar. Je le sais, je devais le rejoindre. Tant pis. Pas envi de bouger.

Un sale sourire béat qui ne me quitte pas...

Je goute à l'indiférence... Je n'ai plus rien à perdre, plus rien. La vie s'ouvre devant moi avec ses milliers de choix. J'en ai la tête qui tourne... c'est si bon...

Une petite chanson, juste parce que je laime (il m'arrive de faire des choses comme ça, par envi, et non par raison...)

Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.

Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.

Mais puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.


Cabrel of course..

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