Tu te lèves gercé par l'ennui d'avoir donné des baisers polis.

Et je m'éloigne pour savoir enfin tout ce qu'on gagne à n'être qu'en chemin.
Mon pays de cocagne, il est entre deux trains.
J'avance et je m'éloigne, parfois je me souviens d'un tendre, devenu ange gardien.

*laisses tomber tes promesses, laisses tomber la neige...*

C'était raph', le grafeur. c'est Arthur qui me l'a glissé à l'oreille. Oui, Melissa je sais qui c'est. 100 mètres au paradis. On a eu des croissants. c'est du favoritisme si je ne m'abuses. Faudrait pas pousser. L'ellitisme de St Jo', je faisais avec, je me disais que je l'avais bien cherché. Mais du favoritisme à Montchap', ça ne va plus. Si ça continue je vais tracer un A sur mon sac. J'aime bien ses cheveux. Ils sont tout doux, tout lisses. Tout ça ne compte pas, au final. Je n'aime pas ça Yassine. "Et ton objectif c'est combien?" 43. La barre des 45, c'est là le plus dur. Il faudra négocier sans se ramasser, et faire comme Aym' : fumer, manger, dormir virtuellement. Ca se fait. Pas moins. Il faudra savoir s'arrèter. Arrèter de... ah, tiens! Paul! je suis restèe sctotchée l'autre jour. J'en ai raté mon bus. c'est rare les gens comme ça. C'est précieux. Le temps joue contre nous tu sais, il saura nous ratrapper. Le mot de la fin sera de l'espèce de type qui animait le stage : "De toute façon, le mur il faudra bien te le prendre un jour". Bon, puisque ça semble si inévitable.